Ils, elles étaient là :  Valentine, Elisa, Guillaume, Romain, Melen

il les a emmenés là-bas : Hervé

Départ hivernal de la vallée du Bouchet au Grand Bornand. Nous sortons des voitures chauffées pour des températures presque sibériennes (moins quelque chose, je ne sais plus), un peu de monde mais très certainement moins qu’ au parking des confins d’où nous aurions pu également démarrer cette rando. Un peu plus de dénivelé mais l’avantage d’éviter la foule, qui nous traîne, nous entraîne…..

Les groupes de randonneurs s’élancent comme des « furieux » prêts à en découdre avec …. ?

Après un court échauffement le long de la piste de ski de fond, les premières festivités s’annoncent : une belle pente qui nécessite de nombreuses conversions. Doucement mais sûrement, nous la franchissons pour atteindre des pentes plus faciles et surtout ensoleillées, passant sous la combe Chombas et contournant les contreforts du Mont Charvet. Le cadre est grandiose, la Mamule nous toise, la neige poudreuse nous tend les bras. Je suis heureux de faire découvrir ce secteur que j’affectionne particulièrement. Certes, nous ne sommes pas tout seul, mais nous sommes un dimanche, c’est les vacances, grand beau, conditions optimum, que veut on de plus ?

Bref, chacun à son rythme, le groupe du SC2 avance régulièrement, les quelques pauses nous permettant de nous regrouper. Nous traversons par la gauche le cirque de Mt Charvet, encore quelques conversions pour atteindre le col non nommé mais belvédère splendide sur le massif du Mt Blanc. Quelques randonneurs montent ou redescendent du sommet. Pour nous ce sera une autre fois.

Pause casse-croûte avant d’attaquer la descente. L’option pour celle-ci est de contourner la Petite Miaz  par la droite. La neige est ***** , chacun a de la place pour faire Sa Trace. C’est le must. Nous retrouvons l’itinéraire de montée et le seul et unique point de passage pour sortir de cette combe. La suite est un peu plus rock’n roll. Le terrain se prête pas trop à développer son beau style. Le but étant de rejoindre le bas du vallon « sans casses ». Le retour, ensuite, aux voitures est une formalité.

Le coffre – bar est ouvert, les bières nous attendent, quelle saison encore ! mais le principal est que nous puissions nous adonner sans trop de restrictions à notre passion, n’est ce pas !